La quête pour la présidence du Comité d’Organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques (COJOP) des JO d'hiver 2030 dans les Alpes est toujours en mode suspense digne d’un thriller.
Qui sera celui (ou celle) qui tiendra les rênes de cette aventure ? Une chose est sûre, Martin Fourcade est encore en pole position… mais à côté, c’est un peu Game of Thrones version sport, avec on l’espère un joli dénouement, très bientôt…
Un champion, mais des obstacles…
Martin Fourcade, sextuple champion olympique de biathlon (un CV qui fait rêver même les plus grands), est le chouchou de cette élection. Son charisme, son aura, et son rôle à la commission des athlètes du CIO en font un candidat presque parfait. Mais attention, tout n’est pas rose dans le monde des Jeux. Martin doit surmonter quelques montagnes (littéralement et métaphoriquement).
En dépit de son soutien de la part d'Emmanuel Macron, d’autres figures politiques comme Laurent Wauquiez ou Renaud Muselier, reste tendu dans les coulisses. On parle de réticences, de petits accrochages, et d’une bonne dose de politique locale qui transforme l’atmosphère en un véritable jeu de chaises musicales...Marie Bochet, quant à elle, pourrait prendre la baguette pour les Jeux Paralympiques. Avec ses 8 titres paralympiques, elle incarne à la fois la performance et l’inclusion et serait la candidate parfaite.
Un suspense redoutable....
Maintenant, la date fatidique approche : le 3 février.
Ce jour-là, on saura enfin si Martin Fourcade sera celui qui va guider la France et les Alpes vers les JO de 2030, ou si un autre personnage inattendu surgira de l'ombre ou du chapeau (oui, tout peut encore arriver !). D’ici là, le monde du sport est suspendu à la publication du rapport de la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique (HATVP) qui pourrait créer quelques vagues. Martin Fourcade va-t-il avoir un conflit d’intérêts ou est-ce que ses activités professionnelles ajouteront simplement un peu de piquant à l’histoire ?
À suivre....
Après l’annonce, on fait quoi ?
Une fois le président désigné, il ne s’agira pas de se reposer sur ses skis ! Il faudra planifier les sites, gérer un budget qui pourrait mettre le budget de l’UE à l’épreuve, et peut-être même recruter un directeur général. Bref, ça s’annonce plus compliqué que de choisir sa team de ski pour les vacances de février.
Mais une chose est sûre : tout le monde du sport se tient prêt à faire la fête dans les Alpes en 2030.
Son charisme, son aura, et son rôle à la commission des athlètes du CIO en font un candidat presque parfait.