Du 11 oct. au 1 déc. 2024
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La marque canadienne spécialisée dans les vêtements et équipements techniques présente une tournée mondiale de films exclusifs remplis de poudreuse, de lignes de rêves et d'images uniques.
Crédit photo : © DR
Pour la première fois de son histoire, Arc’teryx prend ses quartiers dans la plus grande salle de cinéma au monde : Le Grand Rex. Plongez au cœur de ces histoires inspirées de la montagne avec une expérience cinématographique unique. Cette soirée spéciale célèbre l'audace du ski, en compagnie du team Arc'teryx : Loïc Isliker, Severin Van der Meer, Silvia Moser, Craig Murray et Edgar Cheylus. Animée par le snowboarder Victor Daviet, qui pourrait dévoiler son prochain projet, c'est une occasion rare pour le public parisien d'échanger avec ces champions.
Né au cœur des montagnes et désormais diffusé dans le reste du monde, ce festival annuel présente des courts-métrages inspirants qui célèbrent des parcours hors du commun en montagne. À l’affiche, on retrouve les films :
Crédit photo : © DR
– “Ephémère” de Baptiste Sjöström et Edgar Cheylus : Éphémère est le récit poétique d’un cheminement profondément personnel sur le deuil, sur l’épanouissement et sur trouver son chemin. Dressant le portrait d’un enfant gêné qui a noué une relation particulière avec la nature, d’un adolescent qui a chéri ce lien et d’un jeune adulte qui se fraye un chemin dans une société qui peine à comprendre, ce film prend la forme d’une danse où le skieur Edgar Cheylus défie les lois de la gravité.
– “Every Island Has A Name” de Achille Mauri : Évoluez dans un cube blanc imaginaire aux côtés d’Elena Hight, Severin van der Meer, Jared Elston et leurs amis.
Sous forme de visite guidée à la découverte des points communs entre le snowboard, l’art et l’artisanat, Every Island Has a Name nous invite à laisser libre cours à notre imagination.
– “Going East” de Loïc Isliker : Jusqu’où les bus, les trains et nos propres pieds peuvent-ils nous emmener ? L’hiver dernier, Silvia Moser, Max Kroneck, Joi Hoffmann et Loïc Isliker sont allés chercher une réponse à cette question, skiant à travers l’Europe de l’Est en ne se déplaçant qu’en transports en commun. Suivez leur périple entre les journées dans la neige profonde des forêts de Tarvisio, les descentes au coucher du soleil depuis les hauts sommets de Roumanie, les plus belles découvertes dans des endroits inattendus et une nouvelle façon d’apprécier les moments intermédiaires.
Crédit photo : © Silvano Zeiter
– “Jamie” de Darcy Hennessey Turenne : Jamie Logan, pionnière de l’alpinisme, a réalisé des ascensions parmi les plus dangereuses au monde, mais jamais rien ne l’a autant terrifiée que d’annoncer, à l’âge de 69 ans, qu’elle souhaitait commencer à vivre en tant que femme.
– “Slides on the mountains” de Seth Gillis : Pour la plupart des skieurs de Colombie-Britannique, Ts’zil (le mont Currie) est une perle rare. Cette montagne magnifique qui surplombe Pemberton est le théâtre d’innombrables aventures à ski et en snowboard sur les lignes classiques de sa face nord-ouest. Mais si Ts’zil sert aujourd’hui de toile de fond à la vie de la vallée, il ne faut pas oublier que son histoire va bien au-delà des descentes à ski ou en snowboard.
– “The pass” de Andrea Wing : Le col Rogers, au Canada, possède l’un des programmes de déclenchement préventif d’avalanches les plus complexes au monde. Dans cette région chargée d’histoire, le ski de randonnée n’est possible que grâce à la guide de montagne visionnaire qui a mis en place un système de permis pour les skieurs il y a des années, et à celle qu’elle a formée et qui dirige aujourd’hui le programme de gestion des avalanches. Les enjeux sont bien plus importants que la plupart des skieurs ne peuvent l’imaginer.
Crédit photo : © DR
– “Tim” de Jordan Findlay : Tim Sackbauer est un skieur originaire de Vail, dans le Colorado, porteur d’une trisomie 21. Initié à la montagne par sa famille, une équipe soudée qui possède le ski dans son ADN, il apprend à tracer son propre chemin et à dépasser les attentes.
Sur les pentes, il trouve un refuge pour s’exprimer, du réconfort et un moyen de naviguer dans le monde complexe qui l’entoure.
– “Weazy” de Jules Bellot
– “Welcome to the pit” de Seth Gillis : En 2011, Steve Matthews a une idée de génie : ses enfants étant complètement accros au snowboard, il rassemble quelques amis et se lance dans la construction du premier et unique « fil neige » de Yellowknife. Sans autorisation ni permis de la ville, l’équipe se met à travailler sur la mine de gravier abandonnée à la périphérie de la ville. Elle crée ainsi le parc de ski et snowboard Bristol Pit, qui devient sans le vouloir l’épicentre de la communauté et de la glisse dans les Territoires du Nord-Ouest. Bienvenue à la mine.
Des salles encore plus prestigieuses à travers l’Europe, telles que le Grand Rex à Paris, le BFI IMAX à Londres, le Zoo Palast à Berlin
Les recettes des billets vendus bénéficieront en partie aux associations Protect Our Winters et APART. Marque à l’engagement ancré dans son ADN et guidée par la passion du design, de la science et de la communauté, Arc’teryx s’engage à réduire de moitié leur impact environnemental et à développer leur impact social positif.
→ Le nom de la marque s'inspire de l'archæoptéryx, l'un des premiers fossiles d'oiseaux préhistoriques, illustrant la transition entre dinosaures et oiseaux.
Texte de Eloïse Picard
